Au Choix + Je suis en danger de mort? Peut-être, mais je suis en danger de vie si je ne la revois pas, et, à mon âge, je trouve ça encore plus grave. .
NOM: au choix. PRÉNOMS: au choix. SURNOMS: au choix. ÂGE: écrire ici. DATE ET LIEU DE NAISSANCE: entre vingt-deux et vingt-cinq ans. NATIONALITÉ: anglaise et française (il a obtenu la double-nationalité en arrivant à Paris quand il était plus jeune). ORIGINES: française et anglaise. STATUT CIVIL: célibataire, marié à sa liberté. MÉTIER/OCCUPATIONS: peintre. SITUATION FINANCIÈRE: au choix (de aisé à moyen mais issu d'une bonne famille). CARACTÈRE: artiste, esthète, mystérieux, impulsif, voyageur, rêveur, perfectionniste, colérique, engagé... tout ça reste assez libre. GROUPE: écrire ici.
▷ le personnage.
Il est né en Angleterre. Suite à la séparation de ses parents quand il était jeune (cinq/six ans) il a suivi sa mère à Paris pour son remariage. Il a donc grandis au sein de cette nouvelle famille tout en se rendant à chaque vacances en Angleterre pour voir son père resté sur place. Il a obtenu la double-nationalité franco-anglaise. Il y a deux ans, il a appris que son père était atteint d'un cancer (ou d'une autre maladie mortelle) il a donc quitté Paris pour venir s'installer au près de lui et rester à son chevet. Il est peintre et grâce à la bonne situation de ses parents, il réussit à bien vivre sans avoir besoin d'exercer un autre petit boulot à côté. (le reste est libre).
▷ le lien.
Ma fiche de présentation étant centrée autour de leur relation je vous la copie donc ici.
Spoiler:
je suis venu te dire que je m'en vais et tes larmes n'y pourront rien changer. Mado, Ma Do, regarde-toi traîner ton corps ça et là comme un amuse-bouche, un fruit que l'on rêverait de croquer, rien qu'une fois, une toute petite fois. Regarde toi, regarde nous, nos regards désireux et elles, leurs regards envieux. Regarde toi défiler dans les rues, le dos droit, la tête haute, l'air fier comme si tu allais à la guerre. Regarde toi te battre, regarde toi combattre contre la vie, combattre contre le temps, chaque jour qui passe. Tu t'amuses, tu m'amuses, ma muse, à vouloir me plaire, à réussir toujours un peu plus, à risquer une main le long de ma cuisse alors que tu veux voir ce que j'ai peint, à essayer toujours de repousser cette limite qui nous sépare. Tu m'amuses, ma muse, à vouloir tout envoyer balader, regarde toi, tempête effrénée quand tu mets la pagaille dans mon atelier, quand tu déchires une page de mon cahier qui te rendait un peu trop jolie, un peu trop comme elles. Regarde toi, ma Do, renverser mes palettes, mélanger mes couleurs et t'en badigeonner la tête. Viens me peindre, viens me peindre, ton corps entier me crie, m'implore et ton regard qui me dévore. Mais regarde toi, ma Do, regarde toi, vouloir me plaire, regarde toi te vouloir belle, ça en deviendrait presque bête, presque drôle de te voir là, gesticuler dans tous les sens pour poser sous ton meilleur jour. Mais regarde-toi, ma Do, ouvre les yeux et écoute moi, tu es belle ma Do, tu n'es pas comme elles, tu n'es pas jolie, non tu es belle. Mais toi tu t'entêtes, tu ne m'écoutes pas, tu continues de te voir comme celles d'avant, la trop grosse, l'imparfaite comme elle disait ta mère. Si tu te voyais ma Do, si tu te voyais comme je te vois, moi, de mes yeux d'artistes. Si tu ne te voyais pas si terne, si tu te voyais tourbillon de couleurs, du rouge sang, du noir liner et du bleu des pleurs. Si tu te voyais tempête, si tu te voyais vraiment, ma Do, alors tu saurais, tu saurais que je ne te mens pas, que je ne te dis pas cela simplement pour te faire plaisir, tu ne douterais plus et tu finirais même par oublier, tu te verrais autre, tu te verrais belle. Promet moi ma Do, promet moi d'essayer, promet moi d'oublier et surtout promet moi de rester celle que tu es. Promet moi de n'être jamais comme elles, promet moi de ne jamais être simplement jolie, promet moi d'être toujours belle, toujours tempête. Je reviendrai, ma Do, je reviendrai, ceci est une promesse. Je reviendrai un jour, dans une semaine, trois mois, six ans ou peut être même plus mais promet moi de rester celle que j'ai peins de longues après-midis d'hiver durant, celle que j'ai aimé certains soirs, celle que j'aurais aimé protéger un peu plus, des autres mais surtout d'elle-même. Je t'embrasse, ma Do, je reviendrai. lettre de lui, novembre 2011.
en sautant, elle a du penser qu'elle s'envolerait. Tu n'es plus qu'ombre, tu n'es plus que furie il a osé te laisser, partir, aller vers l'Ailleurs et t'abandonner dans les bras de Paris. Alors tu n'es plus que vengeance, tu n'es plus qu'insolence. Tu embrases Paris, tu embrasses Paris et tu te perds, tu te noies, tu t'oublies, tu t'abimes dans leurs draps, dans leurs lits, leurs berlines, le long d'un trottoir, dans les toilettes d'une boîte. Tu t'abimes et ça t'amuse. Souffrir. Parce que tant que tu souffres, alors tu restes en vie. Parce que quand tu souffres, il reste là, tu entend encore sa voix te dire de prendre soin de toi, t'engueuler en te récupérant à la sortie d'une boîte de strip-tease où tu faisais déambuler ton corps comme un pur produit de consommation. Tu l'entends encore te lancer des sermons, le soir, avant que tu ne t'endormes dans ses bras, les yeux encore noircis par les pleurs suite à une main trop allusive le long d'une ruelle. Arrête, ma Do, arrête d'aguicher Paris tout entier, arrête de te trimbaler comme un amuse bouche, un festin entre les reins. Mais Mado, tu ne l'écoutes pas, tu n'entends rien, tu ne vois pas. Toi tu vis, tu t'amuses, tu t'uses, et tu abuses. Tu souffres et le revoilà, et tu l'entends de nouveau. Tu t'abimes et tu te brules, c'est le pas de trop, c'est la chute de haut. C'est l'odeur de mort des hôpitaux, c'est le bruit stressant des machines autour de toi. Tu n'es plus que branchements, électrodes et perfusions. Putain, t'es franchement conne. Contente de te revoir, moi non plus mon amour. C'est son air mécontent, c'est sa main qui se serre dans sa poche, c'est sa tempe qui bat plus vite, c'est la colère qui monte. Tu le connais, il fait toujours ça quand il est inquiet, il s'énerve et il essaye de te mettre plus bas que terre, il essaye de te montrer à quel point tu es inconsciente. Mais toi tu le sais, Mado. Tout ça, je l'ai fait pour toi. Mais on ne retient pas le temps Mado, on n'empêche pas les autres de remplir leurs destins alors il s'assure une dernière fois que tout va bien et il rejoint une nouvelle fois l'île britannique, il traverse encore une fois la Manche et te voilà de nouveau seule, avec quelques cicatrices en plus cette fois. Et ta vie reprend, la vie d'autre fois, c'est la grande vie, la grande épopée. Tu traines ton corps de soirées en soirées, tu traines de lit en lit, tu les aimes, un peu, ils te parlent de beaux jours, ils te parlent de doux amours alors tu te lasses un peu trop vite, un peu trop tôt et c'est le lit vide, la place encore toute chaude. Pas de mot sur l'oreiller, t'es partie, à jamais.
Mais en résumé, Mado était sa muse, elle posait pour lui. Elle le fascinait de par son caractère indomptable et elle, elle ne voulait briller que pour lui. Pourtant Mado derrière ses airs de femme sûre d'elle et bien loin de l'être, et restait donc persuadée qu'il ne la complimentait que pour ensuite profiter de ses courbes. Leur histoire s'est terminée avant même de commencer. Ils se tournaient autour, elle essayait de lui plaire, lui était moins démonstratif mais pourtant se laisser faire et s'amuser à la regarder faire. Pas de baiser, ils n'ont pas non plus coucher ensemble. C'était que des jeux de regards, une main qui se glisse discrètement, une caresse, un baiser dans le cou mais rien de plus. Il n'y avait beaucoup de mots, ils n'ont jamais pris le temps de définir réellement ce qu'ils étaient, leur relation était très floue pour les autres mais surtout pour eux. Et puis il a du rentrer en Angleterre (je pensais que son père aurait pu tomber gravement malade et il aurait voulu être présent auprès de lui avant son décès), il n'a pas pu lui dire au revoir, il est parti en laissant simplement un mot et elle lui en a voulu longtemps. Puis le manque a pris place et elle a cherché à tout pris à le revoir et a fini par faire une tentative de suicide. Il a de suite rappliqué à Paris en apprenant la nouvelle par un(e) ami(e) commun(e) mais dès qu'il a été sûre qu'elle allait bien il est reparti. Pour l'évolution, on verra ensemble par mp.
Tout d'abord, merci de vous intéresser au scénario parce qu'il est vraiment essentiel à l'évolution de ma petite Mado. Donc, quelques précisions supplémentaires : - ce que j'attend : de la présence et de l'investissement. c'est vrai qu'il y a quand même pas mal de choses imposées mais tout le reste est entièrement libre et j'attend de vous que vous vous investissiez, vous me proposiez vos idées pour que l'on construise tout cela ensemble. ce qu'il a vécu en Angleterre, pourquoi il est rentré et même ce dont il pense de Mado... il nous reste encore pas mal de choses à définir. - l'avatar : j'ai pas vraiment envie de bloquer les personnes aimant le personnage à cause de l'avatar donc il reste assez libre (bon bien entendu, je garde tout de même un droit de véto). pour vous donner des idées, j'avais pensé à Nicolas Duvauchelle, Jon Kortajanera, Conor Doherty, Jake Cooper, Marc André Grondin, Naleye Dolmans... - le pseudo : comme l'avatar, le pseudo est libre mais quelques petites conditions tout de même : j'ai horreur des pseudos imprononçables, je le verrais bien avoir deux prénoms : l'un anglais, l'autre français. pas de noms à coucher dehors avec des accents et des doubles voyelles partout. j'avoue préférer les prénoms simples aux prénoms composés mais vous réussirez peut-être à me faire changer d'avis, essayez toujours. - ce qui vous attend une moooontagne de cookies aux pépites fondantes et puis je vous promet plein de rps. enfin voilà, je vous couvrirai d'amour si vous le prenez. encore une fois, Mado l'attend avec impatience.