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 haters gonna hate.

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Simon Heinisch
paris sous les bombes.
Simon Heinisch

+ Messages : 34
+ Statut : serialpineur (la bague au doigt pour plus de chaleur)
+ Occupation : AVIATION CLUB DE FRANCE (CROUPIER)
+ Pseudonyme : OARISTYS.
+ Avatar : JAKE COWAN.
+ Crédits : DIVAE FAVSTINAE.

Feuille de personnage
+ ÂGE: 25 ANS.
+ ADRESSE: 27, RUE DE LA HARPE. (W/ L'ESCOFFIÈRE)
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MessageSujet: haters gonna hate.   haters gonna hate. EmptyLun 8 Avr - 16:51




LEVIS 2013 @ DIVFAVST.

SIMON HEINISCH



NOM: Heinisch, comme le principal membre/associé de l'Aviation Club de France, bien vu. PRÉNOMS: Simon, Guy Jacques. SURNOMS: Eddie (hommage au personnage de Lock stock and two smoking barrels, dont il est, aux yeux de ses proches, un parfait sosie), Rain Man (pour son don au poker et son côté autiste), Poupon, à cause de son visage juvénile qui l'a toujours fait paraitre plus jeune qu'il ne l'est. ÂGE: 25 ans, bientôt 26. DATE ET LIEU DE NAISSANCE: 2 Juin 1988, quartier de la Goutte-d'Or, 18ème. NATIONALITÉ: Vous êtes de la police ou bien ? ORIGINES: Sûrement allemandes, qu'est-ce qu'on en a à foutre ? STATUT CIVIL: Je suis trop vieux pour ces conneries. MÉTIER/OCCUPATIONS: Croupier à l'Aviation Club de France, aux bons soins de l'oncle Édouard / Poker, poker, poker, Call of, GTA, ganja et missions à l'appart, se branler dans les couloirs du 15, place Vendôme. SITUATION FINANCIÈRE: De quoi me faire faire des pompes en marbre et un string en saumon. PARLEZ-NOUS UN PEU DE VOUS: Jeune cadre dynamique, amoureux de la vie et avide d'expériences en communauté, passionné d'escalade et de kayak, je suis toujours prêt à me rendre utile - grand philanthrope, j'aime lire, écouter de la musique et voyager, aller au cinéma avec mes amis, je sais faire des concessions et, surtout, je pense que l'écoute mutuelle et le respect sont une valeur sine qua non du travail à plusieurs. L'oncle Édouard passe la tête dans l'embrasure : Ne l'écoutez pas. C'est le fils de mon enfoiré de frère, un petit merdeux de vingt piges que rien n'intéresse à part la tise et la baise. Il se fiche de tout, se croit au-dessus des lois, et si il n'avait pas ce putain de don hallucinant pour le poker, il serait comme son père aux puces de Saint-Ouen en train d'arnaquer les clodos. Il renifle avec mépris et claque la porte derrière lui. GROUPE: Étoile.


▷ yesterday's trashs, tomorrow's news.
Il a rien de parfait, même dans son imperfection.
Ce putain de mec est blindé de défauts, de la racine des pieds à celle des cheveux, du coin de l'âme à la pointe de la langue, ce mec déconne grave, j'ai toujours eu envie de le crever. Encore plus envie de l'aimer. Simon Heinisch, tu sers à rien. T'es un fantôme qui erre dans ma vie et que je poursuis dans le jour, dans la nuit, et quand je veux que tu hurles, tu chuchotes, quand je veux que tu me baises, tu t'en vas, quand je veux qu'on parle, tu te tais. Simon Heinisch, tu comprends rien de rien, tu sais rien sur rien. T'as jamais rien sorti d'intelligent dans ta vie, jamais rien fait d'utile. T'es comme tous les types de ton espèce: là, et puis c'est tout. Hors du coup. Pas dans l'histoire, toujours dans l'affaire. T'es comme une mélodie à la con, un reste insignifiant d'un film raté, et je te sifflote toute la journée. T'es l'homme sans qualités.

► Simon est né dans le quartier de la Goutte-d'Or, et rien, absolument rien ne le prédestinait à la possession d'un compte bancaire bien fourni. Son père fait les marchés et les puces de Paris pour revendre des objets parfois, souvent rachetés à des voleurs, sa mère, d'origine tsigane-allemande, a été bannie de sa communauté pour avoir fait un enfant à un gadjo, et vit dans l'ombre de cet homme et de ce fils qui sont tout ce qui lui reste en matière de famille. L'oncle Édouard, frère de son père, a fait fortune dans les jeux et les casinos, jusqu'à devenir l'un des gérants de l'Aviation Club. Sa femme est mannequin, ses deux filles sont bonnasses et trop gâtées, et plus son frère et sa famille se tiennent loin de lui, mieux il se porte. Depuis tout petit, Simon est passionné et fasciné par les jeux de cartes, notamment le poker. Édouard a été clair avec lui: fais d'abord tes preuves, si ça fonctionne, je t'engage et on fait la route ensemble. Inscrit dans une fac pour faire plaisir à maman, Simon n'a jamais cessé de pratiquer, encore et encore, l'art du poker jusqu'à toucher un joli petit pactole et se faire un nom dans le milieu. Quand l'oncle Édouard a décidé qu'il avait atteint le niveau nécessaire, il l'a engagé au Club en tant que croupier. Simon travaille donc majoritairement de nuit.
► Coline, c'est l'amie de jeunesse, celle qui l'a vu grimper les échelons sans jamais cesser de l'encourager parce qu'elle voyait bien que c'était sa passion, Coline, c'est la colocataire, la seule autorisée à critiquer pour lui remettre les pieds sur terre. Coline, c'est celle qu'il rend dingue à force d'être insupportable, c'est celle qu'il remercie secrètement de prendre soin de lui. Coline, elle sort les couverts du lave-vaisselle et elle passe l'aspiro dans l'appart, Coline elle ne se plaint pas et c'est ça qu'il lui faut, parce que les gens qui se plaignent, il en entend à longueur de journée et il peut plus. Coline, ça pourrait être la femme de sa vie, sauf que ça l'est pas, c'est une fille dans sa vie - peut-être la meilleure, la plus précieuse, la seule dont on n'oublie pas la date d'anniversaire. Coline, c'est celle qui fait les gros yeux avant d'éclater de rire et se laisser emporter par son délire, Coline, c'est pas une donneuse de leçons, pas un juge et encore moins un faiseuse de condamnations. Coline, elle regarde simplement ce qui se passe, et le jour où ça la gonfle, elle s'en va.
► C'est pas non plus très, très compliqué à comprendre. Simon Heinisch est un joueur, et un bon. Vous arrivez sur le tapis de jeu qu'il a déjà toutes les cartes en main, y compris les vôtres. C'est lui qui s'occupe de la distribution des rôles, et il devient alors d'autant plus difficile de le surprendre. Simon touche à tout, tout ce qui peut déranger, tout ce qui est tabou, tout ce qui choque parce que c'est la vie qui veut ça, parce qu'on n'en a jamais assez vu, assez entendu. Nos héroïnes sont des actrices porno, nos héros des psychopathes, et c'est soit résister, soit s'en aller, soit plonger dedans la tête la première. Quand on est joueur, on plonge. Simon y va pas mal au bluff, faut dire, rien n'est jamais totalement vrai ni totalement faux, mais tout a toujours le mérite d'être convaincant. Il joue aux cartes avec lui-même, sa propre vie a déjà été misée cent fois, alors, les bourgeoises qui se plaignent, les peines de cœur des européennes, les gangsters du dimanche, sont autant de rois, de reines, d'as de pique et de trèfle qu'il fait tourner entre ses doigts, le sourire aux lèvres. Il prend des fix d'héro pour observer les regards effrayés qui se posent sur un bleu contre la veine de son bras, il ne cède pas sa place aux vieux dans le bus et dans le métro pour voir qui serait assez joueur pour essayer de l'obliger à se lever, qui serait assez impliqué, solidaire. Il teste les gens parce qu'il a ça dans le sang, et qui peut affirmer le connaitre vraiment, savoir ce qui se trame derrière ces paroles sans aucun sens, qui saurait entendre l'enfant qui pleure au fond de ce corps qui n'arrête jamais son incessant mouvement ?


▷ hi kids, do you like violence ?

Doc gerbe tellement que l'odeur se barre de la cabine des chiottes où il s'est enfermé et dégueulasse toute la pièce. Si un vigile se pointe, c'est niqué. Je jette un coup d’œil dans la cuvette. On est passé de l'énorme pâté brunâtre incrusté des morceaux de riz des sushis de tout à l'heure à la bile d'un vert inquiétant. Très inquiétant. La gueule de Doc passe du rouge au blanc, du blanc au rouge, et je commence à paniquer sévère. Je ramasse la seringue et le compte-goutes, l'épingle dans le dos de ma veste, balance le reste de la came dans les chiottes et tire la chasse. Voir l'héroïne avalée par le tube puant, la regarder disparaître de la place procure une sensation semblable à celle qu'on peut ressentir après avoir chié une énorme merde. Doc se relève, je le chope par la veste et décoche le verrou, mais ce connard sursaute, plaque ses mains sur sa bouche et se jette dans le trou des chiottes pour gerber encore. « Mais arrête, merde ! » Bave mousseuse aux coins des lèvres. Globes blancs à la place des prunelles des yeux. Malaise. Doc tremble et rejette la tête en arrière, les yeux révulsés. Ce fils de pute est en train de me faire une od. Là, mon cœur s'emballe sec. Je ne peux pas me retrouver avec un putain de cadavre aux pieds, je-ne-peux-pas. J'ouvre la porte et la referme derrière moi – c'est ça ou les battement de mon cœur vont bientôt faire exploser ma cage thoracique, et là, on sera vraiment dans la merde. « Doc ? » Doc a arrêté de gerber, de gémir, peut-être même de vivre tout court, j'en sais rien, j'ose pas regarder. « Doc ? » Compris. J'ajuste mon blouson sur mes épaules, j'essuie la sueur de mon front avec les paumes de mes mains comme un maniaco, et je sors des chiottes, l'air de rien. La boite est pleine à craquer mais je dois quand même avoir l'air d'un ahuri parce qu'une meuf me fixe comme si elle voyait un revenant, et le vigile fronce les sourcils. C'est le moment de s'esquiver en douceur, ce que je m'apprête très exactement à faire quand je me rends compte que le vigile ne m'a tourné le dos que pour appeler son pote, et qu'ils se dirigent actuellement droit vers moi. J'aurais du foutre un t-shirt à manches longues. Ok, pas paniquer, improvisation-éclair en marche, c'est partit. Mon visage se transforme au rythme de leurs pas: de terrorisé, il devient affolé. Mes yeux qui cernaient la sortie d'un air assuré s'écarquillent, mon corps rigide devient flasque, bref, je me transforme petit à petit en grosse tapette hystérique. Seule solution avec ma gueule et mon style: je suis soit un dealer proxénète, soit une grande folle qui bosse dans une boutique vintage. J'ouvre la bouche comme une carpe et prononce des sons à la con: de loin, ils ont l'impression que je leur parle. J'attends qu'ils soient à mi-chemin avant de me jeter sur eux dans une démarche de pédé en puissance. Ils commencent à discerner mes traits et comprennent qu'ils ont affaire à Michou. Froncent les sourcils. « Bon c'est quoi le problème ? » Je balbutie, je dis de la merde, je n'arrive plus à m'exprimer et, summum de la folle, j'en attrape un par la manche de son t-shirt, que je tire vers moi en sautillant d'un pied sur l'autre. « Le mec, le mec que j'ai chopé ce soir, on est allés aux chiottes, il s'est piqué, il a gerbé, je sais pas, je... Il va mourir ?! » Les vigiles haussent un sourcil, m'écartent et se dirigent vers les chiottes. Je me barrerais bien mais tous les connards alentours me matent, avides d'action et de faits divers à la con qu'ils pourront raconter pendant leurs soirées entre amis à la cons, justement. Coincé, Michou. Un quart d'heure plus tard, les secours sont là. On me demande si je connais Doc, j'explique qu'on s'est chauffés ce soir, qu'on s'était enfermés dans les chiottes pour une petite pipe et qu'il s'est piqué devant moi, que je lui ai dit de pas le faire, que c'est un malade, et est-ce qu'il va mourir docteur ? Je la joue chiant à mort, je me mords la lèvre inférieure et je me passe une main dans les cheveux en exprimant mon désarroi. Toutes les tapettes font ça quand elles hallucinent, elles se passent une main dans les cheveux, je sais pas pourquoi, ça doit leur permettre de faire le vide, peut-être, d'aérer leurs neurones, de prendre du recul. Un des secouristes se dirige vers moi pendant que les autres emportent Doc, inconscient, mort, j'en sais rien et je m'en branle sec. « Comment vous vous appelez ? » « Stéphane Andrieux docteur-est-ce-qu'il-va-mourir ? » Tout d'une traite sans hésitation, le regard angoissé plongé dans celui de l'urgentiste, presque tremblant. Le médecin me donne une tape sur l'épaule. « J'en sais rien, ce qu'il prend n'est pas bon pour la santé, vous le savez ? » Ô grand dieux, ô oui, j'acquiesce, je me mords la lèvre, je secoue la tête, mon dieu oui. Seconde tape sur le bras – je ne pourrai pas le supporter une troisième fois, alors que ce soit la dernière sinon c'est le coup de tête. « Vous viendrez le voir demain dans la mâtiné à l'hôpital le plus proche. Essayez de pas trop vous biler cette nuit. » C'est ça mon pote, t'as sauvé le monde, tu peux te permettre de donner des ordres. J'acquiesce encore l'air terrorisé, le colle du regard pendant qu'il me dépasse, reste planté là un moment, choqué, pathétique. Cinq secondes avant que les gens se tournent les uns vers les autres pour commenter le spectacle de leur vie, et me laissent enfin le champ libre. Je me barre par la sortie de secours et passe une main sur mon visage – comme une superstition, comme pour être bien sûr que celui de la tapette hystérique disparaisse de chacun de mes muscles. Je retrouve peu à peu ma démarche habituelle, et serre mon blouson contre mon dos. La bosse de la piqouze épinglée vient frotter ma colonne vertébrale, et je souris dans la nuit.

En fait, c'est pas vraiment que je me demande si je ferais bien de l'envoyer se doucher pour qu'elle se barre enfin du pieu, c'est carrément que je veux absolument qu'elle se barre du pieu, même si c'est pour aller se balancer par la fenêtre. Plusieurs options s'offrent à moi: « désolé Alice, j'ai des potes qui vont pas tarder à passer, tu sais comme c'est, je voudrais pas qu'ils te matent et tout... », « et si t'allais prendre une douche glacée et que tu revenais t'allonger sur moi toute mouillée, t'en dis quoi ? », « casse-toi, j'ai une queue à me taper, et sans ta gueule. » Alice imagine que parce qu'elle est bonne et qu'elle suce bien, elle a tous les droits, même le droit de diriger le temps – mon temps, en l'occurrence. Trois heures qu'on est réveillés, je l'ai déjà prévenue: on passera pas la journée ensemble. Elle était déçue. Elle fait tout pour rester et avoir finalement raison. Elle a pas compris qu'elle m'aura pas par la queue – et pendant que je dis ça, elle est en train de l'escalader avec sa langue – elle a pas compris que je préfèrerais qu'on lui coupe la tête plutôt qu'on me coupe ma main droite. Le visage d'Alice remonte contre mon torse, passe rapidement sur mon cou – elle sait que ça me soule, qu'on me bave dans le cou – et se plante au-dessus de moi, ses yeux verts dans les miens. Alice, elle aimerait bien qu'on s'aime, parce qu'elle croit qu'il suffit de sucer un mec, d'avoir les yeux verts et des gros seins pour qu'il tombe amoureux d'elle. Alice, elle aimerait bien que je l'aime, et je sais pas comment lui dire qu'ya pas moyen. Oh putain non. Elle glisse ses mains dans les miennes et enlace nos doigts. Je bondirais presque hors du pieu mais je me contente de lever les yeux au ciel. « Putain, Alice, je suis camé, j'ai l'air d'avoir quinze ans et mon grand-père était sûrement un SS convaincu. C'est quoi ton problème ? » Elle a les yeux qui brillent. Je pige pas. Je sais pas ce qui la botte chez moi, si c'est mon corps, ma gueule, ou quand je dis des conneries, je sais pas ce qu'elle veut, ce qu'elle cherche, ce qu'elle attend d'un mec qui lui dira jamais qu'il l'aime et qu'il veut l'avoir à ses côtés toute sa vie. Ce qu'elle comprend pas, Alice, c'est que moi j'ai pas peur de la vie. J'ai besoin de personne pour me soutenir sur le chemin, de personne pour pleurer sur mon cadavre. Je l'aime trop, ma solitude, mon kiff solo – Alice dit des trucs et j'écoute rien – j'ai jamais autant kiffé qu'en me réveillant tout seul dans mon lit king size, un rayon de soleil plein de cristaux de poussière sur la tête, le son des bagnoles qui font la queue au feu rouge en bas de l'immeuble, à imaginer la gueule de Coline ce matin, sans qu'aucune putain de brune aux yeux verts vienne suivre les courbes du tatouage sur mon torse avec le bout de son ongle. Alice parle toujours à voix basse en me caressant l'épaule, j'ai des fourmis dans les jambes, envie de me lever. Elle caresse mon ventre en recourbant ses doigts, façon panthère, et j'ai plus du tout envie de me lever, je suis même trop content. Je me tourne vers elle avec des étoiles dans les yeux. « Tu veux pas me sucer ? » Elle fait tout pour m'exciter depuis une heure, j'aurais jamais cru qu'elle y arriverait. Mais là c'est le drame. Alice se redresse d'un seul coup – je suis fixé sur ses seins – et doit me jeter ce qui s'appelle un regard de feu. Elle se met à gueuler. « C'est ça tout le respect que t'as pour moi? J'me dévoile, j'te dis ce que je ressens, mes sentiments, tout ça et toi, t'as que ça à répondre ? » Je me redresse, elle sur moi. « Tes sentiments tout ça ? De quoi tu me parles là, avec tes sentiments tout ça ? Ça veut dire quoi ton délire ? Tu sais même pas de quoi tu parles, alors passe à autre chose, j'ai envie de toi. » Je l'attrape par la hanche, je vois qu'elle hésite entre chialer, se laisser faire, ou... se barrer. « Non mais tu sais quoi Heinisch, va te faire foutre. » Elle se lève d'un bond et tente d'enfiler son jean en maxi temps record. « Tu finiras seul comme un gros con. » J'ouvre de grands yeux. « Mais je demande que ça moi ! C'est quoi le rapport ? » Elle se retourne et me regarde de haut en bas comme si elle allait me vomir dessus, en mode drama. «  J'te hais. » Je l'entends dévaler dans le couloir, manquer de se péter la gueule sur ses talons. Je gueule depuis le pieu. « Tu reviendras demain, c'est pas la peine de prendre ton sac. » Je me faxe sous la couette pour me rendormir, mais quelque chose m'emmerde contre mon genoux. Le string d'Alice. Attends. Elle est partie à poil sous son jean ?

« Coline ? » Je pousse la porte du salon pour vérifier comme un con si elle n’est pas cachée derrière. Aucune trace de Coline. Elle est toujours là en semaine et en pleine nuit, surtout le jeudi, il lui arrive de s’endormir sur le canapé, son écran encore allumé. C’est insignifiant peut-être, mais ça me rassure qu’elle soit là où je l’attends, qu’elle dévie pas, qu’elle respecte les règles qu’elle a elle-même fixées. Marvin miaule à mes pieds et j’en arriverais presque à l’ignorer, tant que je n’aurais pas trouvé Coline. Un sanglot s’échappe du couloir où nos chambres se suivent, et ce qui arrive n’est pas difficile à comprendre. Je m’approche de sa piaule sans prendre la peine de me faire discret, pour qu’elle ait le temps de m’entendre, de sécher ses larmes si elle veut, d’avaler sa salive pour crier « non, n’entre pas » si ça l’ennuie que je me pointe. J’ai jamais été aussi attentionné avec une autre, jamais fait autant d’efforts pour qui que ce soit d’autre, alors tu sais, quand on n’en a qu’une, on fait tout pour la garder. Ma main pousse la porte laissée entrouverte, et je tombe sur elle, assise en tailleur sur son lit, son portable balancé avec rage contre le mur à l’autre bout de la pièce. « Non non non », je murmure en allant près d’elle, m’asseyant dans son dos et embrassant doucement son épaule. Je me renseigne sur les bases : personne n’est mort, personne n’est malade, alors c’est que rien n’est grave. Je comprends que c’est la faute d’un gars, et ça m’étonnera toujours de voir cette grande fille de dix-huit ans se vider de larmes salées pour un connard qui doit me ressembler pas mal, à quelques détails près, pour un con dans mon genre qui ne lui arrive pas à la cheville. Il s’appelle Paul, lui avait juré qu’il l’aimait et l’a trompée devant tout le lycée. Moi je l’aime trop pour lui expliquer, pour lui dire que ça veut rien dire, que Paul, il l’a trompée avec une fille laide et sans intérêt, parce que la seule chose qu’elle avait, c’est qu’elle n’était pas elle, lui dire qu’on est comme ça, qu’on fait des promesses pour vous rassurer mais qu’on les tient pas parce qu’on cherche pas l’amour comme vous, on compte pas sur la durée mais sur l’instant. Et quand t’es pas là, une autre vient te remplacer pendant quelques minutes, juste à peine le temps de te retrouver de nouveau, toi la seule qui ne ressemble pas aux autres. Je lui explique pas parce qu’elle a cessé de pleurer et que je suis content que ça s’arrête. Je lui promets d’aller parler à Paul, ce soir, on risque de se croiser chez Alex. « Qu’est-ce que tu vas lui dire ? » Elle demande de sa petite voix tendre, et j’ai pas le cœur à lui dire la vérité. « Que ça se fait pas, qu’il te mérite pas, ce genre de trucs. » Ce genre de trucs.

Macklemore gueule dans les enceintes et fait trembler les murs. Les voisins ont sonné trois ou quatre fois à la porte et ont fini par se résigner, prévoyant d’envoyer une lettre salée aux parents partis à Courchevel pour se consoler de leur échec. J’espère me noyer définitivement dans mon verre de vodka, cette soirée ne vaut même pas la peine de vivre tellement elle est daubée, mais je sais que je n’ai pas fait le déplacement pour rien. En face de moi, un type autour duquel une fille se pend, s’accroche en riant et en se prenant en photo. J’entends distinctement le nom « Paul » s’échapper de ses lèvres, et je souris. Le type est comme je l’imaginais, son corps a grandi trop vite pour son cerveau, il a tapé dans le petit tatouage sur le bras pour se donner le style antisocial, il a appris à parler aux filles en regardant youporn, la seule chose qu’il mérite d’avoir dans son pieu c’est des morpions d’adolescent boutonneux. Je chope Clément par le bras pour lui signaler que j’ai besoin de lui, et il se ramène, un rictus en coin. J’attends d’être certain que Paul puisse m’entendre et commence ma tirade, le verre à la main, titubant légèrement comme si je tenais pas l’alcool, comme si ce mélange à la con me faisait parler plus que de raison. « Coline, un truc de ouf mec, la meuf elle suce comme elle respire, elle m’a vidé mec. » Je peux presque apercevoir du coin de l’œil son oreille décollée jaillir jusqu’à mes lèvres, et, déjà, le type se rapproche, ses petits yeux plissés par la compréhension. « Coline Escoffier ? » Je joue la surprise, théâtral, pas gêné pour si peu. « Tu connais ? » Absence de couilles oblige, il se contente de hausser les épaules. « Vite fait. » T’as raison, connard. Il insiste. « Tu l’as chopée ? » J’échange un regard éloquent avec Clément et on partage un rire qui veut tout dire. « Choper c’est pas vraiment le mot que j’emploierais. On va plutôt dire que je la casse en deux trois fois par semaine. » Il me regarde, muet, avec sa tronche de puceau interloqué, et je dois faire un sérieux effort sur moi-même pour pas lui en coller une. « Tu la connais d’où ? » « T’es sérieux avec ton interrogatoire mon pote ? » Clément se marre, il commence à comprendre où je veux en venir. Paul devient soudainement mal à l’aise, il a perdu son déguisement de hipster décontracté et ressemble maintenant à ce qui s’apparente à une crevette décomposée. « Vas-y donne son numéro ? » Je ris. Il est pas certain de me croire, le connard, il s’accroche encore à un doute, le dernier petit doute que je sois en train de me foutre de sa gueule. Dommage. Je sors mon téléphone et lui lis le numéro à voix haute, qu’il vérifie sur le sien en perdant le peu de consistance qui lui restait. « Un problème ? » « Non… » Il range son portable et lève vers moi un regard vide. « Je la pensais pas comme ça. » « Ah ? Tu la pensais comment ? » « Ben je pensais pas que c’était une salope… » « C’est pas parce qu’elle baise avec moi que c’est une salope. » « Ouais… » « Tu t’appelles comment ? » « Paul… » J’écarquille soudain les yeux et me penche en avant, hallu totale, incroyable le hasard, parfois... « Attends… Paul ? Putain mais… C’est toi Paul ? » Son regard s’éclaire, il entrevoit un espoir infime, celui que Coline ait essayé de se refuser à moi en prétextant qu’elle est déjà prise, qu’il existe déjà, qu’elle n’aime que lui. Je retiens un rire. « Ah merde, ouais, je comprends pourquoi tu fais la gueule. C’est toi le pigeon qu’elle se tapait jusqu’à, quoi, la semaine dernière ? » « Trois jours… » « Ah je suis désolé mec, vraiment, je voulais pas… Fallait t’annoncer… » « Non mais y’a pas de souci, t’inquiète… » Oh, si, un souci, y’en a un, il est marqué sur ta face de con et il clignote en lettres oranges. « Désolé. Elle t’aime bien, Coline, hein, faut pas que tu prennes ça trop à cœur… » Clément éclate de rire et j’adresse à Paul un dernier sourire qu’il n’est pas en mesure de me rendre. Je finis par lui tourner le dos, Clément à ma suite, toujours secoué d’un rire silencieux.


▷ you know you love me.
PSEUDO/PRÉNOM: oaristys. ÂGE: 45 ans. FRÉQUENCE DE CONNEXION: 5/10. SCÉNARIO/INVENTÉ: inventé. AVATAR: taylor cowan. COMMENTAIRE: Notre documentaire se doit de prendre en compte la rareté de cette espèce en voie de disparition qu'est la divae favstinae. Pour l'approcher au plus près, rien de tel que de s'immiscer à l'aide d'un camouflage digne de ce nom au cœur de son habitat naturel, le terrier où elle a élu résidence. L'observation n'est pas aisée: lorsque la divae favstinae se sait regardée, elle change ses habitudes naturelles pour les adapter à ce nouveau schéma - une parade de défense propre à son espèce. Aussi nous nous parons du matériel le plus discret qui soit, et avons élu domicile juste à côté de sa tanière, domicile dans lequel nous vivons depuis quelques semaines sans nous faire remarquer, afin que la divae favstinae s'habitue à notre présence. Ce matin, en revenant de la pêche, Katy et John m'ont affirmé que nous devrions pouvoir commencer à filmer la divae d'ici deux jours et une nuit, et que le documentaire pourrait enfin débuter.



Dernière édition par Simon Heinisch le Lun 8 Avr - 20:20, édité 18 fois
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Coline Escoffier
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MessageSujet: Re: haters gonna hate.   haters gonna hate. EmptyLun 8 Avr - 16:53

fuckers gonna fuck. Arrow
comme je suis siiiii contente de te voir ici, mais.. mais.. mais quel bon vent. haters gonna hate. 345869612
j'ai hâte. haters gonna hate. 1366640713


Citation :
COMMENTAIRE: Notre documentaire se doit de prendre en compte la rareté de cette espèce en voie de disparition qu'est la divae favstinae. Pour l'approcher au plus près, rien de tel que de s'immiscer à l'aide d'un camouflage digne de ce nom au cœur de son habitat naturel, le terrier où elle a élu résidence. L'observation n'est pas aisée: lorsque la divae favstinae se sait regardée, elle change ses habitudes naturelles pour les adapter à ce nouveau schéma - une parade de défense propre à son espèce. Aussi nous nous parons du matériel le plus discret qui soit, et avons élu domicile juste à côté de sa tanière, domicile dans lequel nous vivons depuis quelques semaines sans nous faire remarquer, afin que la divae favstinae s'habitue à notre présence. Ce matin, en revenant de la pêche, Katy et John m'ont affirmé que nous devrions pouvoir commencer à filmer la divae d'ici deux jours et une nuit, et que le documentaire pourrait enfin débuter.
tu m'as tuée.

moi maintenant.:


Dernière édition par Coline Escoffier le Lun 8 Avr - 17:13, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: haters gonna hate.   haters gonna hate. EmptyLun 8 Avr - 16:57

Bienvenue parmi nous,
j'ai hâte de voir ce que tu vas faire de ce personnage.
Il m'a l'air fort prometteur. haters gonna hate. 2316262884
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Andréas Wayne
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MessageSujet: Re: haters gonna hate.   haters gonna hate. EmptyLun 8 Avr - 17:00

ton commentaire m'a tué aussi. haters gonna hate. 1881463262
bienvenue par ici en tout cas haters gonna hate. 1370837069 j'ai hâte de te lire !
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MessageSujet: Re: haters gonna hate.   haters gonna hate. EmptyLun 8 Avr - 17:04

oh, belle alizée. I love you
tu éveilles ma curiosité.
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Jules Devillier
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Jules Devillier

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MessageSujet: Re: haters gonna hate.   haters gonna hate. EmptyLun 8 Avr - 17:05

Bienvenue. haters gonna hate. 3869909168
Tu m'as l'air d'un joli spécimen en tout cas. Shocked
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MessageSujet: Re: haters gonna hate.   haters gonna hate. EmptyLun 8 Avr - 17:07

Bienvenue.
Y'a des gens avec qui t'as des sentiments, bah, là, y'a un putain de bon sentiment. Amuses-toi bien, et au plaisir de venir te lire. Wink
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MessageSujet: Re: haters gonna hate.   haters gonna hate. EmptyLun 8 Avr - 17:10

HATERS GONNA HATE !

bienvenue haters gonna hate. 3015031042 t'es la consécration, la cerise sur le gateau, le rocher au sommet de la pyramide de ferrero, le roxxor qui tank en instance aléatoire (faites pas gaffe) \o/
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Charlie Wayne

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MessageSujet: Re: haters gonna hate.   haters gonna hate. EmptyLun 8 Avr - 18:19

bienvenue, ta fiche fait rêver !
je reviendrai vers toi pour un lien ! cat
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Simon Heinisch
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MessageSujet: Re: haters gonna hate.   haters gonna hate. EmptyLun 8 Avr - 18:51

J'aime tellement quand tu la sors, cette tête haters gonna hate. 4033450830
Prête pour le combat de ta life, Simon vs Coline vs Marvin? haters gonna hate. 1123868181

Vous êtes gentils I love you
Mélissa, ton personnage est beau, comme toujours. haters gonna hate. 2077153353
et la De Rohan est pas mal non plus dans son genre, après lecture de la fiche Laughing

Toi, toi, toi t'es le poinçon sur la Trinity de Cartier, la mousse sur le café latte, la tapisserie d'Aubusson dans le salon Louis XV, le riddim qui bunke et qui beat au fond du Trabendo \o/
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Coline Escoffier
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MessageSujet: Re: haters gonna hate.   haters gonna hate. EmptyLun 8 Avr - 18:53

prête ma'am. haters gonna hate. 1123868181
ta fiche ma tuée, surtout la dernière phrase.
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MessageSujet: Re: haters gonna hate.   haters gonna hate. EmptyLun 8 Avr - 18:56

(potatoes gonna potate.)

alizé, comme je suis contente de te voir ici ! j'espère qu'on se trouvera un lien de dingue parce que ton simon a l'air vraiment bien. je voulais pas poster sans avoir lu, et j'ai pas regretté, j'ai vraiment adoré ! (et le commentaire haha) I love you
bienvenue ici !
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MessageSujet: Re: haters gonna hate.   haters gonna hate. EmptyLun 8 Avr - 20:21

bienvenue alizé I love you
j'ai vraiment beaucoup aimé ta fiche, comme d'habitude alors je vais éviter de me répéter encore et toujours parce que ça va être lassant à la fin, mais, tu ne l'as pas reprise d'ailleurs? je suis persuadée de l'avoir déjà lu haters gonna hate. 2077153353
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MessageSujet: Re: haters gonna hate.   haters gonna hate. EmptyLun 8 Avr - 20:30

Camille, toi ici haters gonna hate. 2077153353
Et j'avais même pas capté haters gonna hate. 1399014909 Du coup, je viens d'aller lire ta fiche, et c'est trop parfait, nos personnages n'ont pas totalement rien en rapport haters gonna hate. 413356797 ça fait vraiment plaisir de te retrouver (j'y croyais plus) I love you

Han, Juliette qui joue la petite Escoffier, ça non plus j'avais pas calculé, décidément Laughing merci beaucoup pour les compliments (et merci surtout d'avoir lu la fiche, tu sais que c'est un truc qui a tendance à se perdre de nos jours). Tu vois juste, la première partie avec le coup de Doc en overdose dans les toilettes est reprise de la fiche d'un personnage que je n'ai jamais joué What a Face
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MessageSujet: Re: haters gonna hate.   haters gonna hate. EmptyLun 8 Avr - 20:31

à chaque fois tes personnages me laissent sans voix.
ce que je viens de lire, me plait énormement. que j'aime te lire alizée. I love you
(merci beaucoup, je suis contente qu'octavie te plaise.)
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MessageSujet: Re: haters gonna hate.   haters gonna hate. EmptyLun 8 Avr - 20:42

le passage avec alice aussi, non? haters gonna hate. 1370837069
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MessageSujet: Re: haters gonna hate.   haters gonna hate. EmptyLun 8 Avr - 20:43

T'es adorable I love you
c'est toujours un grand plaisir de savoir que le personnage te plait, parce qu'en général, mes persos sont toujours tellement laids point de vue morale par rapport aux tiens, tellement violents comparé à la douceur innée des tiens (exception faite pour Roman, allez haters gonna hate. 1123868181 ), j'aime savoir qu'on se plait malgré tout haters gonna hate. 1805953252

Juliette, il a été bien remastérisé celui-là, il revient de très loin Laughing
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Andréas Wayne
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MessageSujet: Re: haters gonna hate.   haters gonna hate. EmptyLun 8 Avr - 20:50

alors moi, je vais pas rajouter grand chose à tout ce qui vient de se dire, je vais juste en rajouter une couche, en fait. ce Simon est top, ton histoire m'a fait rire, et pas le sens péjoratif du terme, bien au contraire. je suis absolument fan de ta façon d'écrire. enfin voilà quoi. I love you
c'est donc avec plaisir que je te valide - Faustine m'a dit que tu avais fini ta fiche haters gonna hate. 2077153353
n'oublie pas de recenser ton avatar, tu connais, et puis bon jeu par ici haters gonna hate. 1370837069
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Simon Heinisch
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MessageSujet: Re: haters gonna hate.   haters gonna hate. EmptyLun 8 Avr - 21:02

ça c'est de la validation qui va faire ma soirée, ça. Laughing
merci mille fois Marine, d'avoir pris le temps et d'avoir été aussi rapide en plus d'être un amour I love you
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Andréas Wayne
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MessageSujet: Re: haters gonna hate.   haters gonna hate. EmptyMar 9 Avr - 17:17

roh haters gonna hate. 1370837069
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MessageSujet: Re: haters gonna hate.   haters gonna hate. EmptyMer 10 Avr - 13:10

je suis en retard MAIS. je devais passer. ils sont toujours top tes personnages, il y a pas moyen. bref, je suis ravie de te lire à nouveau. bienvenue I love you
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MessageSujet: Re: haters gonna hate.   haters gonna hate. EmptyMer 10 Avr - 13:25

t'es un chou haters gonna hate. 2774444739
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