+ Messages : 158 + Statut : morte. + Occupation : damnée. + Pseudonyme : intodust. + Avatar : ac. + Crédits : KIDD. (♥) + jukebox : HURTS. IAMX. SAEZ. JOY DIVISION. THIRTY SECONDS TO MARS. INDOCHINE. ZOLA JESUS. BURIAL. GRIMES. MOZART. LUDOVICO EINAUDI. PLACEBO. FEVER RAY. MIKKY EKKO. M83. DEPECHE MODE. DAVID BOWIE. LANA DEL REY. COLDPLAY. NIRVANA. ELLIE GOULDING. WOODKID. THE XX.
Feuille de personnage + ÂGE: VINGT ANS. + ADRESSE: 42, AVENUE GEORGES V. + PORTABLE:
Sujet: EXILE. Dim 17 Mar - 23:31
ANON @TUMBLR.
constance rose iver + if you look in my heart you'll find no love, no light, no end inside.
NOM: iver. PRÉNOMS: constance. deuxième prénom; rose. SURNOMS: aucun, elle les déteste. ÂGE: vingt ans, putain. DATE ET LIEU DE NAISSANCE: vingt-six décembre, à londres en angleterre. NATIONALITÉ: franco-britannique. ORIGINES: origines polonaises de part sa mère. STATUT CIVIL: ~ inexorablement vide. en lambeaux. MÉTIER/OCCUPATIONS: wanderlust. sa maison, c'est l'horizon. accesoirement fille de lord. SITUATION FINANCIÈRE: écœurée par la tonne de thunes du paternel. elle crève dedans. CARACTÈRE: fragile furie. douce amère. tueuse d'espoirs. arnaqueuse de sentiments. elle t'aime, elle te déteste, elle t'oublie. GROUPE: étoile.
▷ yesterday's trashs, tomorrow's news.
bordel humain:
VÉNÉNEUSE ▲ Constance, elle est piquante. Mordante. Acidulée, quelques fois amère. Elle est pleine d'épines. Électrique. Souvent carnivore. Elle déchiquette les cœurs pour les embrasser avec passion ensuite. Son regard, surtout ses mots sont brasiers. Elle est irritante, tout ça pour cacher qu'en réalité, que tout au fond d'elle, elle est charmante. L'insolence en bouclier, elle dissimule la fragilité. Elle tyrannise, terrorise pour effacer la vulnérabilité. La timidité. Elle a décidé de dévorer le monde avant qu'il ne la dévore. Tout ça parce qu'elle crève de trouille.
DÉSINVOLTE ▲ Elle se fout de tout. De vous. Encore plus d'elle-même. Elle entretient cette illusion d'insensibilité, prétend que rien ne la touche, que rien ne l'intéresse. Elle prétend sa froideur alors qu'à l'intérieur, elle a l'âme qui s'enflamme beaucoup trop vite et beaucoup trop fort. Silencieuse, elle ne réagit pas aux exclamations, aux petits bonheurs de la vie, aux spleens qui l’enlacent. Elle est ivre d'insouciance, évadée de ses propres nébuleuses. L'insoumission comme seule drapeau, elle reste à l'état sauvage. Gamine capricieuse, enfant gâtée et esseulée, elle est son propre enfer. En blâmant les autres. L'enfer, c'est les autres après tout. Non ?
RENFERMÉE ▲ Les confessions sont proscrites. Son égo surdimensionné la paralyse. Elle ne parle jamais d'elle. Jamais des démons qui grignotent sa raison. Trop fière pour demander de l'aide. Trop démente pour apaiser ses propres maux. Son silence est d'or. Elle reste enfermée dans sa tour d'ivoire, observant de tout en haut, les autres qui vivent. Les autres qui s'aiment et se déchirent. Elle ne fait que ça, observer même lorsque ses yeux débordent d'atrocité.
HAINEUSE ▲ C'est une maladie. Son plus grand malheur. Une nécessité corrosive, une dépendance assassine. Misanthrope à la racine. Elle haït. Elle en suffoque. La tendresse est dure, l'amour utopique. Tout cela lui semble si loin qu'elle en attrape le vertige à chaque fois qu'elle y songe. Elle crache sur le beau, sur le doux. Sur le sincère. Sur le vrai. Elle en perd son innocence. Efface la petite fille qu'elle était autrefois. Ses sourires sont malsains, menteurs, comédiens. Tout est superficiel et elle en crève.
BORDERLINE ▲ Besoin compulsif de remplir un vide. Dépendance aux regards, à l'attention des autres. C'est se sentir emportée par le néant, constamment. Dégradation d'un corps dans diverses addictions. Rituels malsains. Perte de contrôle. Perte de tout pour effacer le rien. C'est l'envie d'en finir et l'incommensurable désir de vivre. Quête acharnée envers le soi qui nous engage vers un nulle part trop flou pour qu'on puisse se repérer. Le grand paradoxe. Constance est une entité de contradictions difformes. Elle marche dans l'incompréhensible parce qu'elle a cassé sa boussole.
DÉSABUSÉE ▲ Rose a les yeux délavés, depuis des années. Devenue adulte trop tôt, elle a piétiné ses rêves avec ses talons Chanel. Elle les a assassiné. L'amertume des déceptions la rendue coupante comme le fil d'un rasoir. Les iris ont perdu leur étincelle et son cœur a cessé de battre. Elle peint tout cela avec de jolies métaphores. Ainsi, les autres oublient l'agonie. Elle est amante de l'inertie et cette dernière ne partage pas l'enfant martyre. Victime de ses propres monstres.
(AUTO)DESTRUCTRICE ▲ Elle décortique ce qui l'entoure. Elle fouille dans les chairs du monde, avec une euphorie frénétique. Parce que Constance voit la beauté dans la laideur. Parce qu'elle chérit sa mélancolie, parce que la douleur l'anime et l'inspire. Elle transforme la souffrance en lyrisme. Elle change les cicatrices en fresques chimériques et elle crée tout un monde avec des ruines. Alors elle supprime, meurtrit. Entre ses phalanges, elle écrase les illusions. Elle admire l'existence se faner et elle pleure. Elle pleure parce qu'elle aime plus la survie que la vie.
CRÉATIVE ▲ Ses doigts la démangent et l'imaginaire enraciné dans sa boîte crânienne déborde, coule jusqu'au bout de ses doigts. Les couleurs éclatent, s'emmêlent à son contact et les esquisses frivoles prennent formes sur le papier, parfois sur la toile. Elle a l'espoir de trouver un jour la création, bien consciente que tout n'est que copie. Elle s'acharne, s'enlise comme un génie fou dans des idées grotesques et loufoques. Elle invente des bestioles qui n'existent que dans son esprit, transforme les sentiments en prose et poèmes. Elle vulgarise la page blanche avec les ratures qui traînent sur sa conscience. À défaut de parler, elle s'entête à s'emplir d'art. Sous n'importe quelle forme, c'est la seule chose dont elle est esclave.
LUCIDE ▲ Résultat d'une réalité détestée. Constance a beau avoir le besoin de la fuir, cette putain, elle n'en reste pas moins consciente de sa déconnexion. Elle dévisage ces filles qui adulent l'amour et les miracles qui n'arriveront jamais. La niaiserie qu'elles vomissent, mielleuse et écœurante. Constance à les chevilles enlacées par d'épaisses ronces et racines, elles la tiennent clouée à cette terre qui ne cessera pas de tourner pour son mal-être, pour la répulsion constante qu'elle ressent envers la race humaine. Il n'y a que son esprit qui vole, qui s'échappe, qui réussi à briser les barreaux de cette prison appelée maturité.
DÉLICATE ▲ Les masques finissent toujours par tomber et lorsque ça arrive, Constance se dévoile fragile. Vulnérable. Mise à nue, elle avorte toutes les douleurs qu'elle inflige. Elle ferme les yeux sur la chaleur dont elle peut émaner. Sur la passion qu'elle peut créer. Elle peut être tendre, câline, brûlante. Une diversité féminine, un éclat qui perdure en million de facettes, toutes différentes. C'est un secret, une énigme. Un monde à elle toute seule. Son milieu la façonner dans la préciosité. Diamants sur canapé. Luxe à profusion. Elle aime la finesse, les jolies choses et la vulgarité, sous n'importe quelle forme l'insupporte au plus haut point.
▷ hi, society.
Je suis venue te dire que je m'en vais. Tu te souviens des jours heureux et tu pleures. Tu sanglotes, tu gémis à présent qu'à sonner l'heure. Des adieux à jamais, oui je suis au regret de te dire que je m'en vais car tu m'en as trop fait.
Je n'aime pas Paris, ni l'odeur de son spleen. Je n'aime pas la fausseté de ses lumières, la grisaille qui enduit son atmosphère. Paris et ses bobos pédants. Paris et sa vanité. Je n'aime pas ses clichés, ses déjà vu beaucoup trop vus, sa tour Eiffel en bord de ciel et pourtant, pourtant Paris est à mon image. Paris murmure la mélancolie lascive et la rareté des sourires. Paris, c'est ma vie. Mon identique, ma meilleure ennemie. Ma fuite. Mon échappée belle. L'insolence désinvolte, la doucereuse amertume qui déborde de ma bouche. Toujours avec ce petit accent britannique à l'entrée de mes lèvres. Je me métamorphose en dandy féminin. En effluve londonienne. Un brouillard vivant, une vacuité anarchiste. La lâcheté corrosive peignant ma vie m'a fait prendre les voiles. J'ai effrité l'abri, transgressé ses interdits, craché sur son amour échoué. J'ai étiré le néant jusqu'à la Seine, plastifiant ces rictus de garce, ces airs infectés d'indifférence. On a frôlé les mondes, lui et moi. Sa paume frémissante sur mes courbes gémissantes. Ses regards qui en disent long, ces instants sucrés à profusion. Le silence était pur, la futilité au creux des mots. Aucun malaise, aucune gêne. Juste ce cœur en alerte, ces utopies lancées à l'aveuglette. La singularité de sa voix, sa suavité m'a chuchoté que l'infini était dans nos draps. Dans nos corps, emboîtés l'un dans l'autre. C'était grandiose. Nos futurs aliénés par la symbiose. Notre union fût céleste et la déchirure n'en fût que plus grande. Au sol, ma face a plongé. Quelques saignements. Des cris d'intensité malsaine, des aboiements incertains et confus. Il ne reste plus rien de nous. Plus rien de nos apothéoses amoureuses.
C'est l'appel du vide.
L'éternelle escapade vers l'absence. L'interminable indolence. La conscience s'évapore, j'ai perdu l'envie de mourir sous tes soupirs, perdu le vif qui nous a rendu agressifs. La confusion me broie, m'étripe. Tiraille la masse de neurones avachis par l'insomnie. J'entends toujours les battements incertains, titubant jusqu'à mes tympans. Ils résonnent, ces tambours assassins. Créant l'espoir, feignant la victoire, ne donnant naissance qu'au désespoir. J'ai trahi ma vie, pour me détacher de ton agonie. J'ai crevé nos cœurs pour t'empêcher le bonheur et j'ai maigri de ton inertie. L'amas de nos ruines fusille mes yeux, à présent devenus évadés des tiens. J'ai les reins clandestins, les désirs malsains. La sensualité de mes phalanges se perd dans l'inconnu, dans le rien. Ces riens sans visages qui dévorent ma poitrine, abusent de mon corps et le désabusent. C'est le cycle d'un hiver sans fin. Où les flocons me rappellent l'incandescence de nos matins. Le vice est mon nouvel édifice et l'innocence se meurtrit sans cesse sous cette cadence. À bout de souffle, je reste cette illusion sans lendemain, une nébulosité qui se fond, qui s'éteint. Les souvenirs me brûlent et ma démarche vacille. Sur ce trottoir sans vie, épuisé de porter les cœurs en lambeaux, les cœurs parisiens, je m'égare et je délaisse les bonheurs qui logeaient mon intérieur. J'ai usé des mots transformés en lame. J'ai crevé tes pupilles avec les larmes, ne te laissant qu'un goût salé dans la gorge. J'ai effacé ton nom pour que tu n'oublies jamais le mien. J'ai condamné tes rêves, tes désirs de futur en t'échappant, un soir de pluie. Ta voix résonne encore parfois. Derrière le goût d'une cigarette, d'un verre de vin. D'une insomnie sans fin. D'une guitare sèche, d'un cendrier humain. Dégage, dégage.
Eternal sunshine of the spotless mind.
T'as été la plus belle gifle de mon existence. Ma putain d'évidence. T'es ce vide qui me consume à petit feu. Mon amour, ma délivrance. Mon bel assassin, mon chaos. Mon intemporel. Mon meilleur ami. Mon amant. Mon écorchure. Ma fierté. Mon regret. Ma décadence. Mon innocence. Tu me connais par cœur. Ce sont tes caresses qui m'ont façonné, tes baisers qui m'ont donné vie. Tes murmures qui m'apaisent. Mes cicatrices deviennent œuvres d'art sous tes sourires, mes désespoirs s'étouffent dans leur noirceur quand tu me tiens la main. Et je t'aime comme au cinéma, comme dans ces livres que je déteste. Je t'aime, comme on crève. L'ironie, c'est que c'est exactement au moment où je l'ai compris, que ma vie a commencé.
Je reviendrais peut-être. Pour un café ou quoi que ce soit.
▷ you know you love me.
PSEUDO/PRÉNOM: intodust/helly. ÂGE: ça me regarde mais. trop vieille à mon goût. FRÉQUENCE DE CONNEXION: régulière, mais ça dépend de vous. SCÉNARIO/INVENTÉ: personnage inventé. AVATAR: ac. COMMENTAIRE: here i am.
Dernière édition par Constance Iver le Lun 18 Mar - 12:46, édité 9 fois
Invité Invité
Sujet: Re: EXILE. Dim 17 Mar - 23:56
here you are, bienvenue !
Constance Iver soulmates never die.
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Sujet: Re: EXILE. Lun 18 Mar - 0:09
merci beaucoup. SEAN ! quel bon choix d'avatar.
Coline Escoffier la liberté est libertine,
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Sujet: Re: EXILE. Lun 18 Mar - 12:59
faustineeeeeeee clara, j'en serai ravie marie-charlotte, merci beaucoup. je n'hésiterais pas. léon, ah je suis heureuse qu'elle plaise. constance est un ancien personnage. (d'où ma rapidité) mais merci à toi aussi.
WOW je suis sous le charme. De toi, de ta plume, de la Constance écorchée. J'ai dévoré tes mots, tes phrases. J'en demande encore de cette poésie. Je ne sais pas si c'est fait exprès mais passé un moment, tes phrases rimaient. C'était juste trop bon. Un délice. Je te remercie pour ce moment de plaisir Helly. J'ai hâte d'en lire plus, je découvrir Constance un peu plus. Je vais réfléchir à un lien car c'est inévitable que je passe à côté.
Je t'annonce donc avec plaisir que tu es validée très chère. Je t'invite à aller rescencer ton avatar, à faire toutes les demandes : appartement, rang si cela te dit. A venir squatter la chatbox avec nous et le flood. A aller demander des liens. Bienvenue sur Wild World, bienvenue à Paris.
Et si tu as des questions nous sommes à ton entière disposition. Nous répondrons rapidement, dès que nous pouvons.
Constance Iver soulmates never die.
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Sujet: Re: EXILE. Lun 18 Mar - 13:45
merci, andréas
Mathieu, en voilà des compliments. Je me retrouve en ne sachant pas quoi répondre maintenant. C'est malin Déjà je vais commencer par te dire merci, ça me fait tellement plaisir quand quelqu'un me dit ce genre de choses. Comme pour Clara, je suis tout à fait ouverte pour qu'on trouve un lien, ça sera même un grand plaisir Je vais aller remplir mes tâches de membre validée de ce pas. Encore merci, vraiment.
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Sujet: Re: EXILE.
EXILE.
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